Chantier naval EDR Anvers
Après six décennies d'utilisation intensive par les opérateurs précédents, le site du chantier naval EDR d'Anvers avait besoin d'être rénové. Les principaux points d'attention ? Utiliser moins d'énergie, permettre une maintenance plus aisée, faire fonctionner les installations de manière plus intelligente et accroître la sécurité.
Chantier naval EDR Anvers
m² Situé sur l'Industrieweg dans le Hansadok d'Anvers, le chantier naval de 370 000 euros dispose de quatre cales sèches et de deux cales humides avec 2 000 mètres courants de quai d'accostage pour les réparations navales. Il y a quatre ans, EDR Antwerp Shipyard a demandé à Industrium d'élaborer un plan directeur préparant le site pour l'avenir. Outre les quais (gérés par le Port d'Anvers), EDR y dispose également d'un certain nombre d'ateliers où des pièces sont réparées ou fabriquées, ainsi que du "débarcadère" où les pièces hors gabarit sont stockées à l'extérieur.
La présence de diverses pompes, de treuils, de grues, de palans, de stations de soudage et de compresseurs entraîne une forte consommation d'électricité. Par conséquent, la haute tension a une puissance de 15 MVA, soit l'équivalent d'une éolienne et demie. Cette capacité est suffisamment importante pour que les navires amarrés dans les docks puissent à l'avenir être alimentés par le courant de quai, ce qui leur permettrait de se passer de leurs propres générateurs (diesel).Pompes à fréquence contrôléeLes pompes qui drainent les cales sèches sont de gros consommateurs. Elles se trouvent dans un bâtiment souterrain à côté de chaque dock. Leur débit varie entre 10 000 et 13 000 m³ par heure, pour une consommation électrique de 350 à 450 kW. Les pompes actuelles sont du type "étoile/triangle avec bancs de résistance". Le démarrage rapide à pleine puissance consomme alors 6 à 7 fois la puissance nominale de la pompe, tandis que les bancs de résistance freinent. Cela génère beaucoup de chaleur, qui est perdue. Il s'agit également d'énormes capacités de pointe que le réseau public d'électricité préférerait ne pas avoir. C'est pourquoi les nouvelles pompes sont régulées en fréquence. En fonction des besoins, leur consommation électrique peut varier progressivement entre 0 et 100 %, ce qui permet d'éviter les pics de charge et de réduire considérablement la consommation d'électricité.
Les grues qui seront électriques de part et d'autre de chaque quai sont des grues à tour de 40 à 100 tonnes. Actuellement, elles fonctionnent encore au diesel. Afin de réduire considérablement les émissions de CO2 du chantier naval, elles seront raccordées au réseau à haute tension. Nous conseillons EDR et le fournisseur MIT Group de Breda sur la meilleure solution pour passer à l'énergie électrique. Dans le passé, les pompes étaient exclusivement actionnées manuellement. Cela prenait du temps, n'était pas pratique et n'était pas toujours sûr pendant les travaux d'entretien. À l'avenir, les capteurs et la mesure du débit permettront d'adapter parfaitement la vitesse de vidange aux besoins des clients. L'efficacité économique du chantier naval s'en trouvera accrue. En outre, lorsque des pertes de débit seront détectées, il sera également possible d'intervenir plus rapidement pour remédier aux défauts ou programmer la maintenance.
En matière de sécurité, nous nous intéressons principalement aux treuils de quai, aux chariots et au treuil de porte. Enfin, le réseau intelligent permettra également de gérer de manière centralisée toutes les données relatives au fonctionnement des installations du chantier naval. En cas d'alarme, l'ingénieur de maintenance pourra voir à distance quel est le problème et intervenir si nécessaire.
Chantier naval EDR Anvers
Après six décennies d'utilisation intensive par les opérateurs précédents, le site du chantier naval EDR d'Anvers avait besoin d'être rénové. Les principaux points d'attention ? Utiliser moins d'énergie, permettre une maintenance plus aisée, faire fonctionner les installations de manière plus intelligente et accroître la sécurité.
Chantier naval EDR Anvers
m² Situé sur l'Industrieweg dans le Hansadok d'Anvers, le chantier naval de 370 000 euros dispose de quatre cales sèches et de deux cales humides avec 2 000 mètres courants de quai d'accostage pour les réparations navales. Il y a quatre ans, EDR Antwerp Shipyard a demandé à Industrium d'élaborer un plan directeur préparant le site pour l'avenir. Outre les quais (gérés par le Port d'Anvers), EDR y dispose également d'un certain nombre d'ateliers où des pièces sont réparées ou fabriquées, ainsi que du "débarcadère" où les pièces hors gabarit sont stockées à l'extérieur.
La présence de diverses pompes, de treuils, de grues, de palans, de stations de soudage et de compresseurs entraîne une forte consommation d'électricité. Par conséquent, la haute tension a une puissance de 15 MVA, soit l'équivalent d'une éolienne et demie. Cette capacité est suffisamment importante pour que les navires amarrés dans les docks puissent à l'avenir être alimentés par le courant de quai, ce qui leur permettrait de se passer de leurs propres générateurs (diesel).Pompes à fréquence contrôléeLes pompes qui drainent les cales sèches sont de gros consommateurs. Elles se trouvent dans un bâtiment souterrain à côté de chaque dock. Leur débit varie entre 10 000 et 13 000 m³ par heure, pour une consommation électrique de 350 à 450 kW. Les pompes actuelles sont du type "étoile/triangle avec bancs de résistance". Le démarrage rapide à pleine puissance consomme alors 6 à 7 fois la puissance nominale de la pompe, tandis que les bancs de résistance freinent. Cela génère beaucoup de chaleur, qui est perdue. Il s'agit également d'énormes capacités de pointe que le réseau public d'électricité préférerait ne pas avoir. C'est pourquoi les nouvelles pompes sont régulées en fréquence. En fonction des besoins, leur consommation électrique peut varier progressivement entre 0 et 100 %, ce qui permet d'éviter les pics de charge et de réduire considérablement la consommation d'électricité.
Les grues qui seront électriques de part et d'autre de chaque quai sont des grues à tour de 40 à 100 tonnes. Actuellement, elles fonctionnent encore au diesel. Afin de réduire considérablement les émissions de CO2 du chantier naval, elles seront raccordées au réseau à haute tension. Nous conseillons EDR et le fournisseur MIT Group de Breda sur la meilleure solution pour passer à l'énergie électrique. Dans le passé, les pompes étaient exclusivement actionnées manuellement. Cela prenait du temps, n'était pas pratique et n'était pas toujours sûr pendant les travaux d'entretien. À l'avenir, les capteurs et la mesure du débit permettront d'adapter parfaitement la vitesse de vidange aux besoins des clients. L'efficacité économique du chantier naval s'en trouvera accrue. En outre, lorsque des pertes de débit seront détectées, il sera également possible d'intervenir plus rapidement pour remédier aux défauts ou programmer la maintenance.
En matière de sécurité, nous nous intéressons principalement aux treuils de quai, aux chariots et au treuil de porte. Enfin, le réseau intelligent permettra également de gérer de manière centralisée toutes les données relatives au fonctionnement des installations du chantier naval. En cas d'alarme, l'ingénieur de maintenance pourra voir à distance quel est le problème et intervenir si nécessaire.
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