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Le Parc du Cinquantenaire à Bruxelles, riche en histoire ancienne et en diversité architecturale, fait l'objet d'une rénovation à grande échelle. Cette entreprise ambitieuse est motivée non seulement par la nécessité d'une restauration, mais aussi par le besoin urgent d'atteindre les objectifs climatiques. À cet égard, l'élaboration d'un plan directeur énergétique joue un rôle crucial.
Les bâtiments du parc du Cinquantenaire diffèrent non seulement par leur âge et leur typologie, mais aussi par leurs exigences en matière de climat intérieur. Néanmoins, ils partagent un problème commun : une efficacité énergétique limitée et d'importantes émissions de CO2 dues aux méthodes de chauffage actuelles.
Optimisation énergétique
Une étude approfondie a été réalisée en collaboration avec SUMProject+SUMResearch et l'agence d'études Daidalos. L'objectif ? Identifier les possibilités d'amélioration de l'efficacité énergétique et de chauffage sans énergie fossile, en tenant compte du contexte historique et de la valeur patrimoniale du site.
L'un des objectifs de l'étude était d'isoler l'enveloppe du bâtiment sans compromettre la valeur patrimoniale. En même temps, les exigences climatiques accrues du musée et l'augmentation attendue du nombre de visiteurs après la rénovation ont été prises en compte.
L'étude a approfondi le potentiel de l'énergie géothermique collective en tant qu'économie d'échelle potentielle pour l'efficacité. La recherche détaillée s'est également concentrée sur l'emplacement des pompes à chaleur air-eau afin de minimiser les impacts visuels et acoustiques. Diverses options de production d'énergie ont été intégrées dans trois concepts sans énergie fossile.
Évaluation énergétique et financière
Les concepts non fossiles qui en ont résulté ont fait l'objet d'une évaluation minutieuse en termes énergétiques et financiers. Un scénario préférentiel mûrement réfléchi s'est dégagé et a permis d'optimiser les bâtiments sur le plan énergétique pendant la rénovation prévue, répondant ainsi aux objectifs climatiques de la Région de Bruxelles-Capitale.
L'étude présente une vision et un concept à long terme visant à réduire les émissions de CO2 du site, à améliorer le climat intérieur pour l'exposition des chefs-d'œuvre, à augmenter la production d'énergie renouvelable et à préparer les bâtiments pour les 50 prochaines années.
Une condition essentielle du scénario choisi est la possibilité d'une mise en œuvre progressive. Cela est nécessaire compte tenu de la taille du site et de la longue période de rénovation. L'implication des propriétaires, des gestionnaires et des différents utilisateurs du site fait partie intégrante de cet effort commun pour répondre aux exigences légales.
Entre splendeur historique et avenir durable, le parc du Cinquantenaire jette les bases d'un environnement restauré et économe en énergie qui résistera à l'épreuve du temps.
Vous souhaitez obtenir plus d'informations sur un éventuel plan directeur pour votre bâtiment ou votre site ? N'hésitez pas à contacter notre expert Joris Dedecker à l'adresse joris.dedecker@ingenium.be ou au 050 40 45 30.
Le Parc du Cinquantenaire à Bruxelles, riche en histoire ancienne et en diversité architecturale, fait l'objet d'une rénovation à grande échelle. Cette entreprise ambitieuse est motivée non seulement par la nécessité d'une restauration, mais aussi par le besoin urgent d'atteindre les objectifs climatiques. À cet égard, l'élaboration d'un plan directeur énergétique joue un rôle crucial.
Le site de la Bijloke à Gand, chargé d'une histoire riche et d'une architecture variée, représente un défi unique dans la quête d'un avenir durable. La diversité de l'utilisation, de la propriété et de l'âge des bâtiments sur le site fait de l'optimisation énergétique et du chauffage sans énergie fossile une tâche complexe. Néanmoins, la ville de Gand et la Hogeschool Gent ont uni leurs forces pour élaborer un plan bien pensé, en accordant une attention particulière au contexte historique et à la valeur patrimoniale des bâtiments.
La facture d'énergie reste-t-elle un point sensible pour vous aussi ? C'est également le cas des institutions du patrimoine culturel qui gèrent des collections. En raison de la nécessité de prendre soin des collections, ces institutions ne peuvent pas toujours appliquer des mesures d'économie d'énergie. En effet, les différentes pièces de collection ont un "climat préféré". Ce climat préférentiel garantit la bonne conservation des pièces de collection pour les générations futures.
