Comment les bonnes technologies et l'enveloppe du bâtiment peuvent permettre à votre bien immobilier d'atteindre un segment locatif plus élevé
Dans l'offre excédentaire de bureaux et de locaux commerciaux sur le marché locatif belge et surtout bruxellois, la hausse des prix de l'énergie fait le jeu des locaux non durables. En outre, une enveloppe de bâtiment défectueuse et des systèmes techniques obsolètes réduisent également le confort des utilisateurs. Ingenium peut vous aider à rendre votre patrimoine durable, afin qu'il reste attractif et rentable.
Sur le marché des bureaux, les locataires recherchent un maximum de confort pour leurs employés tout en réduisant au maximum le loyer et les coûts d'exploitation. Ces deux aspects financiers, en particulier, peuvent peser lourd dans l'arbitrage entre plusieurs immeubles. La crise de l'énergie a mis les choses encore plus en lumière.
RECETTES ET COÛTS
La valeur d'un immeuble est en corrélation avec ses revenus locatifs. Prenons l'exemple d'un bien A bien isolé et en parfait état, et d'un bien B en bien moins bon état. Si, pour A, le coût par m2 est de 100 euros et que le loyer est de 1 000 euros, le bien sera mis sur le marché locatif à 1 100 euros/m2. En revanche, si le coût au m2 du bien B est de 300 euros, il ne reste plus que 800 euros de revenus locatifs si le prix de location reste le même. Le propriétaire du bien B est donc désavantagé tant à court terme - revenu locatif mensuel - qu'à long terme.
MOINS DE CONFORT = PLUS D'ÉNERGIE ( ?)
Il semble maintenant qu'à loyer égal, le locataire ne prendra en compte que d'autres aspects - tels que la localisation, la surface totale, l'accessibilité, etc. - pour choisir entre A et B. Cependant, si, comme l'année dernière, les prix de l'énergie augmentent fortement, les coûts d'exploitation pour le locataire du bâtiment A augmentent fortement.
Mais il y a un autre enjeu, tout aussi important. Si le confort laisse à désirer en raison d'une mauvaise isolation ou d'installations non optimales, le locataire du bien a deux possibilités. Soit il augmente son confort, mais il doit pour cela consommer plus d'énergie. Cela augmente évidemment les coûts d'exploitation. Soit il maîtrise ses coûts d'exploitation, mais le confort des personnes travaillant sur place diminue. Ainsi, le fossé se creuse entre les biens immobiliers haut de gamme - qui peuvent garantir un confort maximal grâce à des interventions durables et aux meilleures installations énergétiques - et les biens immobiliers de moindre qualité qui peuvent être commercialisés beaucoup moins cher, mais où le confort est loin d'être optimal.
En tant que propriétaire, il est donc important non seulement de choisir le bon marché, mais aussi de s'assurer que votre patrimoine est en parfaite adéquation avec les besoins et les exigences des locataires-utilisateurs de ce marché.
L'INVESTISSEMENT PROACTIF
Sur la base d'études énergétiques de l'enveloppe du bâtiment et des installations techniques, Ingenium conseille les propriétaires et les gestionnaires de patrimoine sur les mesures à prendre pour rendre les bâtiments non durables à nouveau performants à court terme, et pour évoluer vers la neutralité en CO2 à plus long terme. Nous avons établi une trajectoire basée sur le coût total de possession (TCO) qui tient compte des coûts d'investissement et d'exploitation. Il est plus judicieux de réaliser des investissements durables que de laisser les bâtiments non durables à des prix (très) bas ou de ne pas les laisser du tout à l'avenir.
Vous souhaitez en savoir plus sur ce projet et/ou sur les possibilités de rendre votre projet durable ? Contactez notre expert Dietrich Schildermans : sebastien.belpaire@ingenium.be - 050 40 45 30.